Le
peloton de Paris-Roubaix, un, indivisible, se casse par vagues, se courbe par
creux, se hérisse par crêtes onduleuses dont chacune porte un nom.
Antoine
Blondin dans une chronique intitulée « Deboue les morts »
Quand
on s’appelle Bernard Hinault et Paris-Roubaix on est fait pour coucher ensemble. René Fallet.
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