En 1950, il fait une chaleur étouffante sur les routes du Tour . C’est la canicule. Au cours de Toulon-Menton, le peloton traverse Sainte-Maxime et longe la plage. A l’initiative d’Apo Lazarides, une grande partie du peloton pique une tête dans la mer. André Brulé, toujours aussi facétieux pénètre même dans l’eau sans descendre de machine. Les coureurs reprennent la route pour se rendre compte qu’ils se sont baignés en laissant leur ravitaillement dans leurs poches. Les sandwiches, les gâteaux de riz, les cuisses de poulet imprégnés d’eau salée sont immangeables. Résultat : le luxembourgeois Bim Diederich gagne l’étape. Il avait été l’un des rares à ne pas se jeter à l’eau.
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