Barcelone-Andorre-Arcalis (Vendredi 10 juillet). Avec 224 km, c’est la plus longue étape de cette année dont l’arrivée est située à 2 240 mètres d’altitude, l’une des plus hautes du Tour.
Saint-Gaudens-Tarbes (Dimanche 12 juillet). Au programme de cette dernière étape pyrénéenne, le col d’Aspin (1490 m) et celui du Tourmalet. (2115 m)
Vittel-Colmar (Vendredi 17 juillet). Une étape de 200 km avec trois cols à franchir :...
la Schlucht (1139 m), Platzerwasel (1193 m) et Firstplan (722 m). Les baroudeurs pourront s’y mesurer dans cette étape intermédiaire mais piégeuse.
Martigny-Bourg-Saint-Maurice (Mardi 21 juillet). Heureusement, la veille est une journée de repos ! Car cette 16 è étape sera celle de toutes les souffrances : ascension du col du Grand-Saint-Bernard (plus de trente kilomètres) situé à 2473 m d’altitude, puis celle du Petit-Saint-Bernard, à2184 m.
Mais le pire est à venir…
Bourg-Saint-Maurice-Le Grand Bornand (Mercredi 22 juillet). Rebelote avec cinq cols : le Cornet de Roselend (1968 m), le col des Saisies (1650 m), la côte d’Arâches (964 m), le col de Romme (1295 m), et la Colombière (1618 m).
Ouf ! Annecy-Annecy (Jeudi 23 juillet). Pas sûr que ce qui restera du peloton ait l’occasion d’apprécier le superbe paysage autour du lac d’Annecy. Ce dernier contre-la-montre de 40 km peut encore réserver des surprises…
Montélimat-Mont Ventoux.(Samedi 25 juillet). Grimper le « Géant de Provence » qui culmine à1912 m, à la veille de l’arrivée sur les Champs-Elysées (cela n’est jamais arrivé dans l’histoire du Tour) ça ne va pas être du nougat ! Une « friandise » réservée aux plus gourmands s’il en reste encore. Mais, quoi qu’il arrive, le vainqueur entrera dans la légende de la Grande Boucle.
PDLG
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