A Tabor, aux championnats du monde de cyclo-cross, Arnaud Jouffroy termine à la troisième place devancé par les deux frères polonais Pavel et Kacpar Szczepaniak.
Jouffroy est un cas à part du cyclisme français. Champion du monde junior de cyclo-cross en 2008, il préfère cette activité à celle de la route. C’est la raison pour laquelle en octobre dernier, il quitte la structure du Vendée U pour s’installer en Belgique, en Flandre, dans la formation BKCP qui n’est intéressée que par le cyclo-cross. Il y fréquente les meilleurs spécialistes du monde et s’entraîne avec eux. Jouffroy qui partage un appartement avec un coureur tchèque s’est vite adapté à ce nouveau genre de vie allant même jusqu’à apprendre le flamand afin de pouvoir mieux s’insérer dans sa nouvelle équipe. Jouffroy va encore courir pendant deux ans dans cette catégorie des Espoirs, la limite d’âge étant de moins de 23 ans.
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janvier 2010
Julien Alaphilippe médaille d'argent en cyclo-cross
Julien Alaphilippe, licencié à l’US Florentaise, vient de décrocher une médaille d'argent aux championnats du monde juniors de cyclo-cross et manque de peu le titre mondial puisqu’il n’est battu que de quelques centimètres au sprint par le représentant de
Alaphilippe s’était mis en évidence au mois de décembre dernier en remportant l’épreuve de Coupe du Monde de Zolder.
C’est la troisième année consécutive que l’équipe de France place l’un de ses représentants sur le podium mondial des juniors après Arnaud Jouffroy (or en 2008) et Alexandre Bouillon (bronze en 2009)
Le favori de l’épreuve, David Van der Poel (petit-fils de Raymond Poulidor ) se classe sixième après une chute dans le dernier tour alors qu’il se trouvait en compagnie des hommes de tête. Il quitte néanmoins les rangs juniors avec la victoire dans
Le Tour 2011 partira de la Vendée
Pour la quatrième fois depuis 1976, le Tour de France 2011 prendra son envol, le 2 juillet, depuis
Ce département entretient avec le cyclisme une longue histoire d’amour. Déjà en 1903, lors de la première édition du Tour, les coureurs traversèrent
Les noms des vendéens que sont Robert Varnajo, Max Bleneau, Roland Berland, Claude Moreau et Jean-René Bernaudeau sont entrés dans le légende des géants du cyclisme. L’équipe U et la formation professionnelle Bbox Bouygues sous l’impulsion du Conseil Général et de Jean-René Bernaudeau font beaucoup pour le développement du cyclisme dans ce département. On y a organisé en 2009, 370 courses soit plus qu’il y a de jours dans une année.
Il était donc normal que le Tour revienne dans ce département si attaché aux valeurs du cyclisme.
Christian Prudhomme, qui fut d’abord un homme de télévision avant de diriger le Tour, est fasciné par la mer et animé par la volonté de montrer aux téléspectateurs (190 pays au monde reçoivent et diffusent les images du Tour) l’esthétisme des différents paysages français. C’est la raison pour laquelle après une présentation des coureurs dans le parc du Puy du Fou, les concurrents se rendront sur le bord de mer à Fromentine pour les traditionnelles opérations de départ. De là, ils défileront en direction de l’Ile de Noimoutier et, toujours en défilé, rejoindront le Continent par un endroit unique en Europe, le passage du Gois, une route submersible lorsque la marée est haute et libre d’accès lorsque la marée est basse.
Une centaine de mètres avant le retour sur le Continent, sera donné le vrai départ de la première étape qui se terminera au sommet du Mont des Alouettes (
Le lendemain, les coureurs reprendront la direction de la mer pour un départ d’étape à Olonne-sur-Mer, aux portes des Sables.
En résumé :
Jeudi 30 juin : présentation des coureurs au Puy-du Fou.
Samedi 2 juillet : 1ère étape : Fromentine-Le Gois-Sommet du Mont des Alouettes.
Dimanche 2 juillet : étape contre la montre par équipes aux Essarts.
Lundi 3 juillet : départ de la troisième étape d’Olonne-sur-Mer.
On notera qu’il n’y aura pas de prologue au départ du Tour 2011.
Pour le reste, il faudra attendre la présentation officielle à l'automne prochain.
Jean-Paul
Le parcours du 68ème Paris-Nice
Remporté l'an dernier par Luis Leon Sanchez, le 68ème Paris-Nice se déroulera du 7 au 14 mars 2010. Il s'élancera, avec un prologue de 8 kilomètres, depuis les rues de Montfort-l'Amaury dans les Yvelines.
Le parcours :
Dimanche 7 mars – Prologue : 8 km
Montfort-l’Amaury > Montfort-l’Amaury (78)
Lundi 8 mars – 1ère étape : 201,5 km
Saint-Arnoult-en-Yvelines (78) > Contres (41)
Mardi 9 mars – 2e étape : 203,5 km
Contres (41) > Limoges (87)
Mercredi 10 mars – 3e étape : 208 km
Saint-Junien (87) > Aurillac (15)
Jeudi 11 mars – 4e étape : 172 km
Maurs (15) > Mende (48)
Vendredi 12 mars – 5e étape : 153,5 km
Pernes-les-Fontaines (84) > Aix-en-Provence (13)
Samedi 13 mars – 6e étape : 220 km
Peynier (13) > Tourrettes-sur-Loup (06)
Dimanche 14 mars – 7e étape : 119 km
Nice > Nice (06)
David Van Der Poel (Suite)
Gisèle et Raymond Poulidor sont des grands parents très heureux. Depuis dimanche, ils ne cessent de répondre aux félicitations téléphoniques de leurs amis. Leur petit-fils David, fils de Corinne et d’Adri Van der Poel, vient de conquérir
David remporte, en effet, le dernier cyclo-cross de cette compétition disputé en Hollande dans la ville natale de son père, Hoogerheide. Est-il besoin de souligner que son père, Adri, fut vainqueur entre autres de deux étapes du Tour, maillot jaune du Tour et champion du monde de cyclo-cross ? Samedi prochain, à Tabor en République tchèque, David sera l’un des favoris du Championnat du monde des juniors.
Fin du séjour australien du peloton
Le Tour Down Under disputé dans la région d’Adelaïde, au sud de l’Australie est terminé. Comme d’habitude les véloces sur un parcours sans grande difficulté ont montré leurs bonnes dispositions. C’est ainsi que l’allemand André Greipel (Columbia) remporte le classement général final pour la deuxième année. L’an dernier, après avoir heurté une moto de l’organisation, son début de saison avait été plus que perturbé. Il n’avait repris la totalité de ses sensations que lors de
Luis-Léon Sanchez (Caisse d'Epargne) termine à la deuxième place à 11 secondes du vainqueur; Cadel Evans (BMC), porteur du maillot de champion du monde, a fait honneur à sa notoriété en terminant à la sixième place à 21 secondes de Greipel tandis que Lance Armstrong est 25ème à 1'03 de Greipel. Répétons-le, ce n’est qu’une épreuve de tout début de saison. Aucune conclusion ne peut être tirée. Des commentaires des uns et des autres, retenons que tout le monde a trouvé Lance Armstrong particulièrement joyeux, heureux de se trouver sur un vélo, participant à une compétition. Ceux qui ont pédalé à ses côtés, lorsqu’il avait décidé de faire quelques efforts, ont trouvé qu’il avait « la moëlle », entendez par là qu’il n’a laissé à aucun autre le soin de prolonger l’effort. Là ou chacun prenait un relais de
Mais chemin faisant, il semble que Armstrong a un peu varié lors de ses interviewes (bien qu’il faille faire très attention à ce que dit ce maître de la communication). Il nous a semblé que l’Américain a semblé moins affirmatif quant à ses possibilités de remporter une nouvelle fois le Tour. Lors de l’inter-saison, il n’avait pas de doutes :il serait plus fort que l’an dernier et avec sa solide équipe prêt à franchir les Champs-Elysées revêtu de jaune. En Australie, Armstrong, après avoir sué à grosses gouttes dans les ascensions comme tout le monde, admettait que Contador serait très fort de même qu’Andy Schleck. C’était bien la première fois qu’il admettait à mots couverts que la victoire dans le Tour était encore très, très éloignée.
Côté français, l’addition est légère. Thibaut Pinot est 45ème et Arthur Vichot 50ème. Ce sont tous deux de jeunes néo-professionnels de
Le cyclisme a changé : il parle l'anglais...
Par Gilles Le Roc'h
Notre confrère, président de l'Association Internationale des Journalistes du cyclisme (AIJC), nous adresse cet article depuis l'Australie où se déroule le le Tour Down Under.
Nous nous souvenons tous de l'époque, pas si lointaine, quinze ans peut-être, d'une rentrée cycliste dans les frimas parfois neigeux de l'Etoile de Bessèges. Au sortir de camps d'entraînements organisés dans le sud de la France, en Italie ou en Espagne, les coureurs donnaient leurs premiers coups de pédale en février. Loin des caméras de télévision, ils scrutaient les nouveaux maillots, les nouvelles têtes et l'éclat des cadres en acier dans ces courses suivies par une poignée de journalistes chanceux.
C'était il y a quinze ans quand les pays de la vieille Europe servaient de cadre au sport cycliste, s'organisaient encore comme au début du vingtième siècle pour le régenter, le dominer, vivre ses meilleures histoires et assourdir ses mauvaises rumeurs. Il avait alors la gentillesse d'accueillir des champions venus d'Angleterre ou du bout du monde après qu'ils eurent fait leurs preuves dans des clubs souvent parisiens, l'ACBB notamment
Le Tour Down Under, fantastique course australienne a lancé l'année cycliste 2010 ce 19 janvier entre deux petites villes de ce bout du monde, Clare et Tanunda. Nous sommes loin de la vieille Europe et des stages d'entraînement de Seillans ou d'Opio. Nous sommes au soleil d'un pays fou de cyclisme, soleil source de renaissance et d'avenir.
N'en doutons pas, le cyclisme a un avenir. Il reste partout dans le monde le meilleur investissement pour les sociétés qui le font vivre, son rapport qualité prix est exceptionnel. Oui, il a un avenir mais bien plus ici en Australie, ou dans tous les pays anglophones. Chez nous, en Europe, le cyclisme stagne à défaut de régresser.
C'est vrai, le cyclisme anglophone a la chance de reposer sur une histoire récente, d'être né avec Sean Kelly, Stephen Roche ou Greg LeMond, plus encore avec Lance Armstrong. Son histoire est vierge de disgrâces, de non-dits ou d'un passé trop lourd de silences. Il n'a pas à se justifier, à se laver trop souvent de son passé.
Quand la vieille Europe se doit d'admettre qu'elle s'est parfois fourvoyée, qu'elle s'est surtout endormie sur ses acquis sans jamais penser à les faire fructifier, les Anglophones s'éveillent à cette discipline magnifiée par les écrans de télévision, n'éprouvent pas le besoin de nourrir une posture de repentis. Ils regardent devant, droit devant.
Leur passion pour ce sport qui les rassemblent, d'un seul langage, par delà les frontières et les continents, est la source de leur émancipation, de leur statut aujourd'hui dominant dans le cyclisme. Les marques de cycles américaines ont inondé le marché, les équipes ajoutent à leur compétence sportive une politique de marketing et de communication aggressive et efficace. Les télévisions font le reste.
Au départ du Tour Down Under réunissant les dix sept meilleures équipes mondiales, il faut compter trois formations américaines (Columbia-HTC, Radioshack, Garmin), une britannique (Team Sky), une danoise (Saxo Bank) parlant exclusivement l'anglais. 45 coureurs Anglophones pour 12 Français et 7 Belges, la balance n'est plus la même.
Les créations de course sont souvent anglophones aujourd'hui, les disparitions sont légion en Espagne et en Italie, une menace fréquente en France.
Il y a quinze ans, le cyclisme de la vieille Europe était un groupement d'artisans sûr de son savoir faire et de sa tradition. Pour n'avoir pas su anticiper et préparer demain, il n'a rien vu venir. Dans ses structures et ses projets, il est aujourd'hui dépassé, dominé, parfois humilié.
Certes la vie est une parabole, il faut donc croire en la force des cycles et au retour en force de la tradition mais rien ne permet de croire qu'une réaction soit déjà envisagée. Pourtant, rien ne se fera, c'est une évidence, sans une remise en cause absolue de notre fonctionnement.
D'accord, l'Espagne domine encore les Grands Tours avec Alberto Contador et Alejandro Valverde, l'Italie peut encore compter sur Damiano Cunego ou Filipo Pozzato, la France sur la force inaltérable du Tour de France mais l'écart se creuse chaque jour. Et la relève sportive, surtout économique, n'est plus assurée.
Quand les Teams Sky, Columbia ou Garmin rivalisent dans le "high tech", les équipes françaises se posent toujours des questions sur leur avenir, sur le moyen de détecter le champion qui nous manquent tellement. Elles font face à une politique fiscale qui accroît la différence, à la suppression des droits à l'image, à la lourdeur d'un système qui va à l'encontre de leurs intérêts. Elles végètent et ne voient pas encore le moyen de faire mieux. Parce que son passé est lourd de traditions, parce que le cyclisme il y a 100 ans, c'était déjà deux jambes faisant avancer un vélo, rien d'autre. La tradition est lourde et occulte les sourires. Ici, en Australie, il éclaire le visage de Jack Bobridge, Cameron Meyer et bientôt Michaël Hepburn, les nouvelles stars.
Il y a quinze-vingt ans, Stephen Roche, Sean Kelly et Greg LeMond étaient des attractions. Et en plus ils gagnaient des courses majeures. Aujourd'hui leurs jeunes compatriotes ne rêvent plus d'un club français ou d'équipes professionnelles qui s'amusent de leur accent, pour tenter leur chance. Ils débutent leur carrière sous le soleil, source de renaissance et d'avenir. Puisse un jour le soleil se lever de nouveau à l'ouest !
Gilles Le Roc'h, à Adélaïde
Bon sang ne saurait mentir
Dimanche dernier, à Roubaix, David Van Der Poel a remporté l’épreuve des juniors de la Coupe du monde de cyclo-cross, organisée en partie sur la pelouse du vélodrome et disputée devant 8 000 spectateurs. David Van Der Poel, 18 ans, plusieurs fois champion de Hollande de cyclo-cross est le fils d’Adri Van Der Poel, ancien champion du monde de la spécialité et vainqueur d’étape sur le Tour de France. Sa mère, Corinne, est la fille de Raymond Poulidor, lequel est donc son grand-père. David, dans quinze jours disputera le Championnat du monde juniors de la spécialité à Tabor, en République tchèque.
Lance Armstrong déjà au top de la... médiatisation
La saison de cyclisme 2010 commence ce mardi 19 janvier avec la première étape de l’australien Tour Down Under dont la vedette est, bien sûr, Lance Armstrong.
L’épreuve a lieu dans le sud du continent autour d’Adélaïde. C’est l’endroit idéal pour un début de saison. Là-bas, c’est l'été : la température oscille autour de
A peine arrivé, Lance Armstrong a mobilisé l’attention. Il est venu à bord de son jet privé de
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Une nouvelle épreuve : le Tour d'Oman
Ce premier Tour du Sultanat d’Oman est inscrit au calendrier international et se disputera deux jours après la fin du Tour du Qatar, c’est-à-dire du 14 au 19 février.
Comme le Tour du Qatar, cette nouvelle compétition est due aux excellentes relations existant entre Eddy Merckx et certains chefs d’Etat du Moyen Orient. Comme au Qatar, ASO intervient en tant que prestataire.
Le Sultanat d’Oman se trouve au sud de
Son régime politique est la monarchie parlementaire. Il est dirigé par un sultan (actuellement Qabus bin Said Al Said ). Plusieurs femmes ont le rang de ministre.
C’est un pays qui tire en grande partie sa richesse du pétrole et de l’agriculture (arbres fruitiers et vignes). C’est aussi le pays qui produit le parfum Amouage dont la fragance est la plus chère au monde.
ASO organisera le Critérium du Dauphiné Libéré 2010
Le Critérium du Dauphiné Libéré n’est plus une priorité du groupe de presse EBRA qui entend désormais porter ses efforts sur la qualité de ses journaux et ses sites internet. Le groupe de presse EBRA (Est, Bourgogne, Rhône-Alpes), propriétaire de plusieurs journaux dans ces régions dont L’Est Républicain, Les Dernières Nouvelles d’Alsace, le Bien Public, Le Progrès de Lyon et Le Dauphiné Libéré, revendique un lectorat de 3 millions de lecteurs répartis sur 23 départements.
Ce groupe de presse cède donc pour cette année 2010 l’organisation du Critérium à ASO (Amaury Sport Organsation), propriétaire du Tour de France, de Paris-Roubaix et de Paris-Nice. Des pourparlers sont par ailleurs engagés pour la cession totale de l’épreuve à ASO ...
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Championnat de France de cyclo-cross : Francis Mourey imbattable
Pour la cinquième année, Francis Mourey remporte le Championnat de France de cyclo-cross. Si l’on ajoute ses deux titres remportés chez les Espoirs, Francis Mourey est donc un sextuple champion de France. Malgré une crevaison peu avant la mi-course alors qu’il était seul en tête de l’épreuve, Mourey a démontré sur le circuit de Liévain, glissant par endroits en raison des récentes conditions atmosphériques, une grande supériorité. Il l’emporte au sprint devant Steve Chaînel, champion de France en 2006.
Mourey va maintenant préparer le Championnat du Monde de Thabor (Tchécoslovaquie), épreuve dans laquelle il a obtenu en 2005 la médaille de bronze, puis comme tous les ans il se consacrera à la route.
Le palmarès actuel de Mourey en cyclo-cross est impressionnant : 7 titres de champion de France (2 en espoirs et 5 en Elite), 6 fois vainqueur du Challenge National et 14 fois vainqueur consécutif d’une manche du Challenge National (série en cours) ...
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Eurosport rend hommage à Fausto Coppi
Pour commémorer le cinquantenaire de la mort du "Campionissimo" , le 2 janvier 1960, Eurosport diffusera le vendredi 8 janvier une émission spéciale à 19h55 avec notamment une interview exlusive de son ancien coéquipier Raphaël Géminiani ainsi que des images inédites de la dernière course du champion italien au Burkina Faso, en décembre 1959.
Cette émission sera présentée par Géraldine Pons en présence de Patrick Chassé, le commentateur cycliste de la chaîne et de Philippe Bordas, ancien chroniqueur de la rubrique cyclisme de l'Equipe, écrivain, photographe, auteur de Forcenés (Editions Fayard), qui célèbre les grandes figures de la petite reine.
Fausto Coppi fut le premier coureur à réaliser le doublé Tour d'Italie-Tour de France (en 1949 et 1952). Il remporta cinq Tours d'Italie, deux Tours de France, cinq Tours de Lombardie, trois Milan-San-Remo, un Paris-Roubaix et trois Championnats du monde. Le champion mourut des suites de la malaria contractée en Afrique. Il avait 41 ans.
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