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1) Vincenzo Nibali (Astana) en 84h 53' 28"
2) Rigoberto Uran (Sky) à 4'43"
3) Cadel Evans (BMC) à 5' 52"
4) Michele Scarponi (Lampre) à 6' 48"
5) Carlos Betancur (AG2R) ) à 7' 28"
6) Przemyslaw Niemiec (Lampre) à 7' 43"
7) Rafal Majka (Saxo-Tintkoff) à 8' 09"
8) Benat Intxausti (Movistar) à 10' 26"
9) Mauro Santambrogio (Vini Fantini) à 10' 32"
10) Domenico Pozzovivo (AG2R) à 10' 59"
Le premier Français, Francis Mourey (FDJ), est 20ème, à 32' 22"
Au volant d'un camping-car, trois journalistes de France 24 (la chaîne d'information internationale en continu), Pauline Godart, Eve Irvine et Lyana Saleh ont pris un tour d'avance en sillonnant les 3500 kilomètres de l'épreuve pour diffuser 21 reportages autour des étapes du Tour du centenaire : patrimoine, arts de vivre, portraits insolites sont inscrits à leur programme qui sera diffusé chaque jour sur les trois antennes de la chaîne (en français, en anglais et en arabe) à partir du 28 juin.
Le sel de Guérande, Saint-Malo, le Mont-Saint-Michel, les grottes troglodytes de Rochecorbon (à côté de Tour), le château de Chenonceau sont leurs premières étapes.
L'ancien coéquipier de Lance Armstrong publie un ouvrage explosif sur les coulisses du cyclisme et sur les ravages du dopage.
Il s’en passe toujours de « belles » dans le peloton en ce début 2013. Plusieurs coureurs, dont le Russe Kaykov, le Colombien Arango et le Vénézuélien Ubeto positifs au GW 1516, une nouvelle substance toxique et dangereuse car provoquant de graves problèmes cardiaques ; le Français Sylvain Georges positif à l’heptaminol ; la sortie du livre confession de Tyler Hamilton (La course secrète, aux Presses de la Cité) qui est un effroyable tableau de l’organisation du dopage dans les années 1990-2000 ; sans oublier la mort, le 17 mai dernier, de Philippe Gaumont, à 40 ans, après avoir été impliqué dans de multiples affaires. Décidément on n’en sort pas et c’est à vous dégoûter de suivre les courses après une telle immersion dans le peloton professionnel.
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Dans notre société moderne et capitaliste, la
sélection par l’argent est de plus en plus évidente. Le cyclisme n’échappe pas
à cette évolution que l’on peut déplorer par rapport à une certaine époque, car
elle favorise les nantis et pénalise lourdement les équipes à petit budget.
Une
réalité qui donne aussi à réfléchir car avec la crise économique actuelle elle
pourrait bien remettre en question les fondements même de la compétition professionnelle
et créer un cyclisme à deux vitesses non plus uniquement à cause du dopage,
comme il y a peu.
1) Arnaud Démare (FDJ) en 20 h 37' 21"
2) Florian Vachon (Bretagne Séché) à 16"
3) Ramon Sinkeldam (Argos) à 26"
4) Julien El Farès (Sojasun) m.t
5) Armindo Fonseca (Bretagne Séché) à 30"
6) Samuel Dumoulin (AG2R) m.t.
7) Sébastien Hinault (IAM) m.t.
8) Martin Elmiger (IAM) m.t
9) Michel Kreder (Garmin) m.t
10) Geoffrey Soupe (FDJ) à 31"
Le 1er mai, la Fédération française de cyclisme a consacré le père Robert Leroy champion de France cycliste du clergé à l'issue de l'épreuve qui s'est déroulée à Montbron, en Charente.
Déjà titulaire du titre en 2007 et vice-champion en 2012, Robert Leroy, qui officie dans la paroisse de Cléry-Saint-André (Loiret), a revêtu très officiellement le maillot tricolore sur la tribune officielle, aux côtés du père Bertrand Lener, prêtre à Steenvoorde, près de Lille, et Vincent Montagne, séminariste dans le diocèse de Valence, respectivement deuxième et troisième de l'épreuve.
Le père Robert Leroy, titulaire d'une licence cycliste depuis 43 ans, a 61 ans. Il a remporté ce championnat de France, long d'une cinquantaine de kilomètres, après un sprint.
Trente-quatre religieux, dont trois soeurs, étaient sur la ligne de départ. Porte-parole des évêques de France, Mgr Poitevin a béni la course et présidé la messe célébrée en toute fin de matinée en l'église de Montbron.
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