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Commentaires

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Thierry Bascou

C'est amusant d'observer la réaction de Cadel lorsqu'il franchit la ligne en vainqueur, dans cette contrée du
Tessin si catholique. Il paraît bénir le public d'une main hésitante, comme aurait pu le faire Benoît XVI. Je suis
ravi pour lui. Quelques mois plus tôt, on l'avait vu lancer, lui le suiveur patenté, plein de petites attaques
dérisoires contre Valverde et Contador, les fiers ibères. C'était sur les routes du Dauphiné, dans les
pentes du col de la Madeleine. Et là, il te lance une bonne grosse attaque sur le plat juste avant la dernière
côte de la course, dans un moment de latence. Bingo. Cinq kilomètres avant, le favori Cancellara avait
effectué une impressionnante descente à tombeau ouvert, décramponnant presque les Espagnols
collés à ses basques, toujours eux. Belle course, belle région. Et encore, sans les oreillettes,
c'êut été encore plus gôuteux:-)

Cadel Evans, ou la victoire obstinée d'un gars du bâtiment. Go Aussie go.

Cyrille LEVEQUE

Cette victoire de Cadel Evans ramène le cyclisme dans le bon chemin - enfin j'ose l'espérer. Ce gars qui ne fait pas de bruit, que l'on avait enterré cet été lors du Tour de France, a déjoué tous les paris du jour. Heureusement qu'il gagne, parce que une victoire de Kolobnev, Rodriguez, Valverde aurait fait désordre à mon goût !

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Bibliographie



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